Kagi & Kagi
Poèmes sans poésie ni poètes
Vestibule
Une fois le vestibule nettoyé,
Anna-Maria se dirigea vers l'alcôve.
Il était là, fumant, énorme.
Le fauteuil grinçait,
On entendait la terre gémir.
« Doucement, Anna-Maria, doucement ! »
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