Poème sans musique encore

Sous les quintes lourdes et blondes,

D'élégiaques cordes profondes

Gonflées par le tyran séreux

Lèchent le ton de mille feux

Roulants et blêmes, funérailles

Épouvantées, lourdes sonnailles

Aux atroces grelots canailles

Qui tous ont l'éclat du vitrail.